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Sélection du personnel (non-sélection/non-promotion)

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Bien que la candidature soit en désaccord avec l'évaluation faite lors de l'entretien quant à savoir si elle satisfaisait à des exigences de compétence particulière et quant à son aptitude générale au poste, le comité d'entretien était en droit de tirer ses propres conclusions concernant l'aptitude de la candidature.

Les tribunaux ont toujours soutenu qu'il ne leur appartient pas de substituer leur jugement à celui du responsable du recrutement ou du décideur. Leur contrôle se limite à vérifier que la décision a été prise conformément aux règles et procédures applicables et qu'elle n'a été...

L'UNAT a noté que les ordonnances contestées rejetant les demandes d'anonymat du fonctionnaire avaient été rendues moins d'un mois après que le TFP ait fait droit à sa demande d'anonymat dans une autre affaire.

L'UNAT a estimé que les ordonnances contestées n'étaient pas isolées et que l'interaction de toutes ces procédures rendait la situation exceptionnelle. Le TUNAT a estimé que le fait de lui refuser l'anonymat pour ses deux demandes uniquement irait à l'encontre de l'objectif de l'anonymat et que, dans les circonstances particulières de cette procédure, cette incohérence portait atteinte à...

Après avoir examiné les observations des parties et les éléments de preuve au dossier, le Tribunal a défini les questions à trancher comme suit :

a. Si le candidat avait une chance réaliste d'être sélectionné ; et

b. Si le recours a subi une perte financière en raison de la décision contestée.

Concernant la première question, le Tribunal a noté que l'Unité d'évaluation hiérarchique avait déjà constaté des irrégularités dans le processus de sélection et recommandé que celui-ci soit refait. Le Secrétaire général adjoint à la stratégie, à la politique et à la conformité de gestion (SGA/DMSPC) avait...

Après avoir examiné toutes les observations et les preuves au dossier, le Tribunal a estimé que la principale question à trancher était de savoir si le responsable du recrutement avait procédé à une évaluation juste et impartiale de la candidature du requérant, en lui accordant une attention complète et équitable.

La feuille de calcul soumise par le défendeur en réponse à l'ordonnance n° 57 (GVA/2024) éclaire la question. Ce document contemporain montre l'évaluation approfondie de l'expérience professionnelle du candidat par le responsable du recrutement.

Les observations du candidat concernant...

La principale question juridique soumise au Tribunal était de savoir si la décision de ne pas sélectionner le requérant pour le poste de réviseur P-4 (russe) était légale dans la mesure où sa candidature avait été examinée de manière complète et équitable.

Le Tribunal a estimé que les procédures applicables avaient été correctement suivies et que les allégations d’irrégularités procédurales formulées par le requérant n’étaient pas fondées.

En ce qui concerne l’examen complet et équitable, le Tribunal a noté qu’après avoir examiné les candidatures sur la base des critères d’évaluation établis...

Le requérant n'a pas réussi à établir par des preuves claires et convaincantes que la procédure de sélection pour le poste était entachée d'actes illégaux ou qu'il avait subi un préjudice du fait de la décision contestée. En conséquence, sa demande a été rejetée et sa demande d'indemnisation a été rejetée.

L'affirmation selon laquelle le requérant pouvait raisonnablement s'attendre à ce que sa candidature fasse l'objet d'une attention particulière étant donné qu'il avait exercé les fonctions du poste pendant cinq ans était déplacée. Il n'a pas sérieusement contesté le fait que la création du...

Le requérant a démontré qu'il a postulé sans relâche à des postes et qu'il était qualifié pour un certain nombre de postes dans le cadre de l'exercice de rotation et de réaffectation du personnel d'encadrement (« SSRRE »). Selon le dossier, il a postulé à au moins 11 postes entre 2019 et 2022. Cet élément et les autres facteurs soulevés dans l'affaire ont persuadé le Tribunal d'accorder au requérant deux années de salaire de base net au lieu d'une réintégration.

Le Tribunal a ordonné l'annulation des décisions contestées de ne pas retenir le requérant au service de l'UNICEF et de ne pas le...

Le Tribunal a examiné les éléments de preuve versés au dossier et les raisons invoquées par le défendeur pour ne pas sélectionner le requérant et a conclu que, sur la base des informations fournies par le requérant, la décision du défendeur de ne pas le sélectionner ne pouvait pas être considérée comme injuste. Le candidat n'avait pas la certification CIPS niveau 2 qui était une exigence obligatoire pour le poste, et il n'a pas prouvé qu'il avait deux ans d'expérience progressive dans la gestion des achats.

En outre, la suggestion du candidat dans ses observations selon laquelle le jury de...

Le TANU a estimé que la décision de ne pas sélectionner l'agent pour le TJO 161651 était légale. Il a estimé qu'étant donné que l'agent n'avait pas contesté l'annulation du TJO 14924, en vertu duquel l'administration avait initialement publié le poste d'agent administratif, cette décision d'annulation ne faisait pas partie de la décision contestée faisant l'objet de l'examen. En tout état de cause, le TANU a déterminé que l'administration avait le pouvoir discrétionnaire d'annuler le TJO 149241 et de publier à nouveau le poste sous le TJO 161651 après que la candidate sélectionnée ait retiré...

Le TANU a estimé que le président du Conseil de l'OACI, en prenant la décision de ne pas approuver la nomination de l'agent au poste, avait tenu compte de considérations pertinentes : l'agent avait fait l'objet d'une évaluation négative de la part du jury d'entretien et du centre d'évaluation, et présentait de graves faiblesses dans les domaines de la vision et d'autres compétences essentielles pour l'OACI. Le TANU a estimé que les raisons invoquées par le président étaient conformes aux faits.

Le TANU a estimé que, bien que le président ait discuté de la question avec certains membres du jury...