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Abus de procédure devant l'TCNU/TANU

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UNAT a considéré l'appel du Secrétaire général contestant l'indemnisation des dommages moraux. Unat a jugé qu'il y avait suffisamment de preuves produites que le montant de l'indemnisation des dommages-intérêts moraux avait été versé sur le compte bancaire du membre du personnel. Unat a jugé que le paiement de l'indemnisation constituait une acceptation du secrétaire général du jugement de l'UND. Unat a jugé que l'appel était donc sans objet. UNAT a rejeté la demande du membre du personnel en matière de frais contre le Secrétaire général en raison de la violence de processus. Unat a soutenu...

Unat a jugé que l'UNRWA DT avait correctement déterminé que l'appelant n'avait pas respecté les délais énoncés dans l'ancien règlement du personnel de la région 111.3, ce qui rend sa demande non à recevoir car il concernait son défi à la décision refusant l'admissibilité au poste de gestionnaire de base de données . Unat a jugé que l'appelant n'avait jamais demandé d'examen de la décision de le séparer du service, ne se conformant pas à l'article 8.1 (c) de la loi de l'UNRWA DT, qui exige qu'un demandeur doit d'abord soumettre la décision administrative contestée pour l'examen de la décision...

UNAT a considéré un appel du Secrétaire général qui était limité à l'attribution de l'indemnisation de l'UNDT au lieu de l'annulation, qui, selon lui, était excessive. Unat a jugé que, puisque le Secrétaire général n'a pas contesté la demande d'indemnisation de Mme Sarrouh avant UNDT, il n'a pas pu soulever la question en appel. Unat a jugé que l'attribution de la rémunération in-lieu par UNDT était fondée sur les preuves incontestées qui l'ont saisie et, à ce titre, ses conclusions n'étaient pas déraisonnables et n'ont commis aucune erreur dans son évaluation de la rémunération. Unat a jugé...

Unat a jugé qu'il n'y avait aucun fondement aux allégations de l'appelant selon lesquelles UNDT n'avait pas exercé sa juridiction ou a commis une erreur en droit en utilisant la procédure de jugement sommaire pour déterminer que la demande n'était pas à recevoir ratione materiae. Unat a jugé que la demande de UNDT n'avait pas contesté une décision administrative qui aurait été en non-conformité des conditions de nomination ou du contrat d'emploi du membre du personnel, plutôt que l'appelant a contesté le libellé du MEU dans une lettre à lui reconnaître la réception de son grief ou de sa...

Unat a considéré une demande d'exécution du jugement n ° 2017-UNAT-798 par M. Dibs. Unat accordé en partie la demande d'exécution du jugement et de l'ordonnance de l'UNRWA pour exécuter pleinement le jugement dans les 30 jours civils, conseillant que le non-respect de la date limite entraînerait une conclusion de maltraitance manifeste de processus, de l'attribution des frais et, potentiellement, une référence pour la responsabilité. Unat a considéré que la demande de dommages moraux et pécuniaires n'était pas dans le cadre de la demande.

Le TANU a estimé que la raison pour laquelle l'UNDT a décidé de ne pas annuler la décision contestée, à savoir le temps écoulé, n'était pas suffisamment justifiée. Le TANU a estimé que, compte tenu des illégalités flagrantes dans la conduite de la procédure de sélection constatées par le TANU, l'annulation de la décision contestée était obligatoire et ne pouvait être évitée sur la base du délai excessif entre l'introduction de la demande et le jugement du TANU. Le TANU a estimé que le fait de permettre à la décision de ne pas sélectionner le requérant de rester en vigueur comme si elle était...

En tant que première affaire préliminaire, Unat a considéré une motion demandant la confidentialité dans laquelle l'appelant a cherché à limiter la divulgation des informations personnelles relatives à son statut de citoyenneté et d'immigration. Unat a jugé que les données personnelles n'étaient pas pertinentes pour l'affaire, la divulgation des informations n'aurait pas eu lieu sans les propres requêtes de l'appelant et UNAT ne lui aurait pas demandé de divulguer ces informations. Unat a rejeté la requête. En tant que deuxième affaire préliminaire, UNAT a considéré une requête pour répondre...

Cette affaire a été présidée par le juge Honfeld et le juge Murphy a rédigé l'opinion majoritaire. La majorité (Halfeld, Murphy, Raikos et Knierim) a rejeté l'appel et a jugé que l'appel n'était pas à recevoir. Sans décider de la question de savoir si le UNT a un droit inhérent à détenir un outrage non contenant, la majorité a constaté que l'appel ne répondait pas aux exigences de la loi Unat. La majorité a expliqué qu'il avait compétence à entendre et à porter un jugement sur un appel conformément à l'article 2, paragraphe 1, de la loi dans laquelle il est affirmé que l'UNDT a: a) dépassé sa...

La requérante a demandé une nouvelle prolongation du délai le 16 octobre 2009 pour déposer sa demande de fond après que le Tribunal lui ait précédemment accordé 21 jours pour le faire. Cette prolongation a expiré le 16 octobre 2009. Le Tribunal a noté que: le conseil du demandeur avait demandé à se retirer de la représentation du demandeur pour le manque d'instructions; La demande de prolongation a été déposée à la date d'expiration de l'ordonnance précédente et a déplacé le tribunal pour une nouvelle extension de 1 an; Le demandeur a fait allusion aux «négociations directes» en cours; «Avec l...

Le tribunal n'est pas saisi d'une application intelligible. Le demandeur n'a pas identifié la décision administrative contestée ou les décisions pour lesquelles il demande une réparation. Il n'a également pas identifié de mesures prises par lui pour demander un examen administratif des décisions administratives contestées. Le Tribunal n'a donc aucune compétence en vertu de l'article 2, paragraphe 1, 1) a) et de l'article 8 (1) du statut de l'UNDT ou des dispositions équivalentes du statut de l'ancien tribunal administratif de l'ONU à examiner la demande. Deuxièmement, le demandeur n'a pas...